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 les réactions à la pendaison de Saddam Hussein

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wizard
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MessageSujet: les réactions à la pendaison de Saddam Hussein   les réactions à la pendaison de Saddam Hussein Icon_minitimeDim 31 Déc - 2:31

Les réactions ailleurs dans le monde (radio-Canada 30 décembre 2006)

De nombreuses capitales et organisations ont aussi réagi au jugement. Si certaines y voient un grand pas en avant dans la démocratisation de l'Irak, d'autres expriment leur désaccord ou leurs préoccupations.
Le président Bush commentant la condamnation de Saddam Hussein.

Londres et Washington, tombeurs du régime de Saddam Hussein en 2003, se sont réjouis de la décision.

Le président américain George W. Bush, en pleine tournée électorale dans le sud des États-Unis, a réagi à la sentence de l'homme dont il a renversé le régime. Il l'a qualifiée de grande réussite pour la jeune démocratie irakienne et de point tournant dans le processus d'affranchissement de l'ancien régime tyrannique.

« Aujourd'hui, les victimes de ce régime prennent la mesure d'une justice que beaucoup croyaient hors de portée », a déclaré le président américain sur le tarmac de l'aéroport de Waco, au Texas, où il poursuit sa tournée électorale.
Tony Blair

Londres a été un précieux allié de Washington dans son aventure en Irak.

À propos de la procédure d'appel automatique et de la garantie d'un procès juste dont jouit selon lui Saddam Hussein, M. Bush a souligné qu'il s'agissait précisément de droits que l'ancien maître de Bagdad avait refusés aux Irakiens. « L'histoire se souviendra du jugement rendu aujourd'hui comme d'un accomplissement important sur le chemin menant à une société [irakienne] libre, juste et unie », a-t-il encore déclaré.


La secrétaire d'État américaine, Condoleezza Rice, s'est réjouie elle aussi de la condamnation. « La décision d'aujourd'hui est un heureux rappel lancé à tous les Irakiens que l'autorité de la loi peut prévaloir sur celle de la peur et que la recherche pacifique de la justice est préférable à la recherche de la vengeance », a-t-elle affirmé dans un communiqué.

Côté britannique, la secrétaire aux Affaires étrangères, Margaret Beckett, s'est dite heureuse que « Saddam Hussein et ses coaccusés aient eu à rendre des comptes devant la justice ». Par voie de communiqué, elle a rappelé les crimes commis par le régime de l'ancien dictateur.

Ottawa ne veut pas se prononcer tout de suite
Peter MacKay

Peter MacKay (archives)

Le ministre canadien des Affaires étrangères estime qu'il est trop tôt pour commenter la condamnation à mort de Saddam Hussein. Peter MacKay préfère attendre que le processus d'appel soit complété avant de faire quelque déclaration publique que ce soit, faisant ainsi écho aux propos par le président irakien Jalal Talabani.

Selon lui, la condamnation à mort de l'ancien dictateur irakien pourrait avoir un impact en Irak même.

M. MacKay a fait ces commentaires après avoir prononcé une allocution devant la United Jewish Appeal Federation au cours de laquelle il a réitéré l'appui du Canada à Israël.

Contre la peine de mort

D'autres voix se sont élevées dans le monde pour dénoncer le procès ou les condamnations, sur la base des principes ou pour des raisons plus pragmatiques.

Le Royaume-Uni mis à part, de nombreux pays d'Europe de l'Ouest ont réitéré leur approbation du fait que l'ex-dictateur doive répondre des crimes commis sous son régime, mais ont souligné leur rejet de la peine capitale.

La Finlande, titulaire actuelle de la présidence tournante de l'Union européenne (UE), a appelé les autorités irakiennes à ne pas exécuter la sentence. « L'UE est opposée à la peine capitale dans tous les cas et dans toutes les circonstances », ont déclaré les autorités finlandaises, qui estiment par ailleurs que « l'établissement de la vérité et de la responsabilité pour les crimes commis pendant le régime passé contribuera à la réconciliation nationale et au dialogue en Irak à l'avenir ».
Angela Merkel

Photo: AFP/STR

La chancelière allemande Angela Merkel a réitéré son opposition à la peine de mort.

D'autres membres de l'UE, notamment la France, l'Allemagne, l'Italie, l'Irlande, la Suède et l'Espagne, ont pris acte de la sentence, voire exprimé leur satisfaction devant le fait que Saddam Hussein ait dû répondre de ses crimes devant un tribunal. Ils ont cependant tenu à rappeler leur opposition à la peine de mort ou ont réclamé une réflexion en la matière. Le Danemark a souligné pour sa part qu'il ne soutenait pas le tribunal spécial irakien.

La Suisse et le Vatican ont aussi rappelé leur opposition à la peine capitale. La peine de mort n'est « pas justifiable, même pour les crimes les plus graves », a déclaré le ministre suisse des Affaires étrangères.

Le chef de la diplomatie russe a pour sa part émis une mise en garde. Selon lui, la mise à mort de Saddam Hussein risque de diviser encore plus le pays, « qui est au bord de l'éclatement ».

Moscou croit que si on pend Saddam Hussein, les sunnites qui appuient toujours l'ancien dictateur pourraient plonger le pays dans la guerre civile.

La haute-commissaire de l'ONU chargée des droits de l'homme, Louise Arbour, a réclamé pour sa part un moratoire sur l'exécution de l'ancien président irakien. Elle a demandé qu'on respecte son droit de faire appel.

Réactions dans la région

Au Koweït, pays envahi par l'Irak de Saddam Hussein au début des années 90, la population a applaudi à l'annonce du verdict.
Ali Khamenei

L'ayatollah Ali Khamenei (archives)

L'Iran a salué la décision du tribunal, rappelant les exactions de l'ancien dictateur durant la guerre Iran-Irak des années 80. « La République islamique d'Iran, se souvenant des crimes inhumains commis par Saddam et ses alliés contre les nations irakienne, iranienne et koweïtienne, ainsi que de la nécessité de garantir les droits de ces nations, se félicite de ce verdict », a déclaré un porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Mohammad Ali Hosseini.

Téhéran a aussi envoyé une pointe en direction des États-Unis. « Bien que Saddam et ses alliés aient perpétré ces crimes, il ne faudrait pas oublier que les soutiens occidentaux de Saddam ont aussi préparé le terrain à ces crimes et à ces actes d'oppression », a ajouté le porte-parole.

Un membre du Conseil consultatif de l'Arabie saoudite, Mohammad Al-Zalfa, a estimé pour sa part que le jugement était la moindre des choses à faire pour les victimes de Saddam Hussein. L'éditorialiste saoudien Khaled Al-Dakhil a quant à lui qualifié tout le procès de farce politique et judiciaire, affirmant qu'il n'était pas différent « des procès d'opposants du temps de Saddam Hussein ».

Yasser Arafat et Saddam Hussein (archives)

Les Frères musulmans égyptiens, principal mouvement d'opposition en Égypte, ont eu une réaction plus mitigée. Ils ont tout de même concédé que Saddam Hussein était un tyran et un despote qui avait plongé l'Irak dans une situation désastreuse.

« Mais que valent tous les crimes commis par Saddam durant sa vie criminelle par rapport aux crimes commis par les occupants et ceux qui les aident? Rien! » a déclaré le guide spirituel de la confrérie, Mohammad Mehdi Akef.

Au Proche-Orient, le mouvement Hamas a donné son appui à Saddam Hussein, expliquant que l'ancien dictateur avait soutenu le peuple palestinien. Israël s'est refusé à tout commentaire, de peur que sa réaction soit récupérée pour « impliquer Israël dans le conflit » en Irak.

Un procès juste et équitable?


L'ONG Amnistie internationale s'est montrée très critique à l'endroit du Haut Tribunal pénal irakien. En plus de dénoncer la condamnation à mort à laquelle elle s'oppose par principe, l'organisation a déploré le manque d'impartialité de la cour et le manque de protection accordée aux témoins de la défense.

Pour sa part, le groupe de défense des droits de l'homme Human Rights Watch croit que le procès ne donnera pas de résultats pour les victimes des exactions de Saddam Hussein. Parce qu'il n'a pu établir clairement les faits, le jugement ne résistera pas à l'épreuve du temps, estime HRW.

Même son de cloche à la Fédération internationale des ligues des droits de l'homme (FIDH). En plus de dénoncer « avec la plus grande fermeté » la condamnation à mort de Saddam Hussein, l'organisation a estimé que le Haut Tribunal irakien « s'est caractérisé par les violations répétées du droit à un procès équitable ». Le tribunal a « gravement failli à sa mission », conclut la FIDH.
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wizard
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MessageSujet: Re: les réactions à la pendaison de Saddam Hussein   les réactions à la pendaison de Saddam Hussein Icon_minitimeDim 31 Déc - 3:12

Les réactions en disent déjà sur les alliances, le désir de faire disparaitre au plus vite, le camouflage autant que la neutralité et le désir de la m^me jsutice pour tous!

Un p'tit peu d'histoire au prochain post...faut lire au complet...
Quelqu'un pourra t'il me dire que justice a été rendue...et que ceux qui sont responsables des crimes commis en Iraq ont été traduits en justice et qu'ils ont cessé de les commettre!
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wizard
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MessageSujet: Re: les réactions à la pendaison de Saddam Hussein   les réactions à la pendaison de Saddam Hussein Icon_minitimeDim 31 Déc - 3:15

La condamnation à mort de Saddam Hussein : un simulacre de justice

par James Cogan

Mondialisation.ca, Le 7 novembre 2006
WSWS



Les condamnations à mort prononcées hier contre Saddam Hussein et trois autres personnalités éminentes de son régime sont le résultat d’un simulacre de procès concocté à des fins politiques. Dans un contexte où des atrocités indicibles sont commises chaque jour contre le peuple de l’Irak par les forces d’occupation américaines, des juges triés sur le volet ont condamné l’ancien dictateur irakien à mort. Le moment même de la sentence est une tentative d’améliorer la position électorale du Parti républicain lors des élections pour le Congrès de mardi en énergisant la base de droite des républicains avec le prospect d’un lynchage légal publicisé.

Saddam Hussein et les dirigeants du Parti baas irakien devraient tous être jugé pour la litanie de crimes qu’ils ont commis contre le peuple de l’Irak. L’administration Bush, toutefois, et la classe dirigeante américaine dans son ensemble, n’a aucun droit d’organiser le procès de qui que ce soit en Irak pour crimes contre l’humanité. L’invasion de 2003 était un crime de guerre, un acte d’agression non provoqué qui a été justifié par des mensonges et entrepris au mépris du droit international.

Depuis ses début il y a trois ans et demi, l’occupation américaine a tenté de subjuguer le peuple irakien au moyen de l’assassinat de masse, de la torture et de la destruction de villes entières. Une étude réalisée par l’Université John Hopkins, la seule tentative crédible d’estimer le nombre des victimes de la guerre et de l’occupation, a trouvé que le gouvernement américain était responsable de la mort de 655 000 Irakiens. Avant la guerre, les sanctions des Nations unies qui ont pris place de 1991 à 2003 avaient causé la mort d’un million d’Irakiens par malnutrition et maladie.

Les médias pro-guerre ont, comme il fallait le prévoir, mis l’accent sur les célébrations chez les Irakiens chiites et kurdes en réponse à la sentence de mort contre Hussein. Il n’y aura pas de justice en Irak toutefois avant que les responsables à Washington, à Londres et ailleurs pour 15 années de mort et de souffrance soient amenés devant la justice et qu’un terme soit mis à l’occupation illégale du pays par des dizaines de milliers de soldats américains et leurs alliés.

De plus, les gouvernements américains ont fourni depuis les années 1960 un appui politique et financier à Hussein et aux baasistes alors qu’ils réalisaient leurs atrocités les plus brutales – des massacres des membres du Parti communiste et des travailleurs aux idées socialistes, en 1963 ainsi qu’en 1979, jusqu’à la tuerie, durant les années 1980, des chiites fondamentalistes et des nationalistes kurdes qui s’opposaient au régime.

Même le massacre pour lequel Hussein a été condamné à mort – l’exécution de 148 hommes et enfants chiites du village de Dujail en 1982 – s’est produit dans le contexte des revers essuyés par l’armée irakienne dans la guerre, appuyée par les États-Unis, de l’Irak contre l’Iran. Les États-Unis ont directement encouragé Hussein à envahir l’Iran en 1980 et ont fourni un appui politique financier et militaire à l’Irak durant les huit ans qu’a duré le conflit car ils percevaient le régime théocratique chiite, qui avait pris le pouvoir à Téhéran en 1979, comme une menace à leurs intérêts au Moyen-Orient.

La guerre aura en bout de ligne coûté la vie à plus d’un million d’Irakiens et d’Iraniens. En plein carnage, les États-Unis ont appuyé la soi-disant opération « Anfal », qui avait été ordonnée par Hussein pour exterminer la rébellion kurde, soutenue par l’Iran, au Nord, pour laquelle il est aussi jugé. En 1991, à la suite de la guerre du Golfe, la première administration Bush a ordonné à l’armée américaine de ne rien faire pour empêcher les forces d’Hussein de réprimer les soulèvements chiites et kurdes.

Tout procès légitime d’Hussein exposerait la culpabilité des États-Unis et d’autres grandes puissances dans les crimes du régime baasiste en Irak. Mais le simulacre de procès qui a pris place a fait le contraire. Il a empêché que toute preuve montrant la relation entre une dictature brutale et les intérêts d’une grande puissance ne soit présentée. On n’a pas rendu compte du passé, pas plus que l’on n’a fait justice à ceux qui ont été tués. Seules les preuves reliées directement aux événements de Dujail ont été présentées. Comme mesure de précaution supplémentaire, la diffusion télévisuelle du procès était différée de 20 minutes afin de permettre aux censeurs d’effacer tout ce qui aurait pu être considéré comme dommageable à l’occupation américaine.

Tout le processus n’a été qu’un procès spectacle honteux. Le Tribunal spécial irakien a été mis sur pied par un décret émis par le proconsul américain Paul Bremmer en 2003. Ses juges et procureurs ont été choisis par les responsables américains et instruits par des conseillers américains. Le manque de crédibilité et d’impartialité de la cour a été critiqué sévèrement par Human Rights Watch, Amnistie International et d’autres observateurs internationaux. En de nombreuses occasions, les audiences se tenaient en l’absence des accusés et dans des conditions où leurs avocats ne pouvaient être présents.

En janvier, le juge en chef a été forcé d’abandonner le procès après que les médias américains et le gouvernement irakien l’ait accusé de ne pas en faire suffisamment afin d’empêcher Hussein d’utiliser le box des témoins comme tribune pour dénoncer la légitimité du tribunal. Trois avocats représentant les accusés ont été assassinés et d’autres ont été forcés de fuir le pays, probablement par des escadrons de la mort travaillant pour les partis fondamentalistes chiites qui dominent le gouvernement soutenu par les Etats-Unis à Bagdad.

L’ambassadeur américain en Iraq, Zalmay Khalilzad, a salué la sentence de mort prononcée hier contre Hussein comme étant un « jalon important » dans « la construction d’une société libre basé sur la règle de droit ».

Le cynisme de ces déclarations est stupéfiant. Plusieurs fuites publiées dans les médias américains indiquent que des hauts responsables comme Khalilzad ont passé les derniers mois à comploter un coup contre le gouvernement dominé par les chiites du premier ministre Nouri al-Malaki et son remplacement par une forme de junte militaire. Il y a un courant de plus en plus puissant tant parmi les républicains et les démocrates, que les intérêts des Etats-Unis seraient mieux servis en Irak par un régime similaire à celui de Hussein.

Alors même qu’Hussein est condamné à la pendaison, l’establishment politique américain discute de la mise en place de plusieurs des assassins et autres brutes qui ont soutenu le retour de son régime au pouvoir, en échange de la fin de la guerre de guérilla qu’ils livrent contre les forces américaines et d’une entente permettant aux sociétés américaines de piller les ressources en pétrole de l’Irak. Le prélude à la réhabilitation de l’élite baasiste va être un bain de sang par les militaires américains contre les miliciens chiites, dans les régions telle que Sadr City à Bagdad où il a paradé dans les rues hier pour célébrer le résultat du procès de Hussein.

Article original en anglais, 6 novembre 2006, WSWS.org.
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wizard
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MessageSujet: Re: les réactions à la pendaison de Saddam Hussein   les réactions à la pendaison de Saddam Hussein Icon_minitimeDim 31 Déc - 3:37

L'histoire des Talibans et de Oussama Ben Laden est indentique et mêm pire..mis en place par les américains, financés par eux...(les familles bush et bin Laden ca se connait depuis la nuit des temps et ca brasse de grosses affaires ensemble) et ils font un simulacre de recherches...

l'histoire du génocide au Rwanda..idem..la Belgique a agi hypocritement pour ses intérêts et soutenus des factions...et est grandement responsable de tout ce massacre...Pourant Kagame se pavane encore! (lire toute l'histoire dans le livre du Général Baril..c'est dégoûtant..de réaliser comment les guerres sont arrangées et manipulées)

Et Pinochet...il était bien traité en france non????

Et Duvallier..bien recu aussi en France!

Et les criminels nazis...on les a bien accueuillis ici au Canada et on les as cachées..on les camoufle encore! Aprèas que l'italie aie soutenu la montée de Hitler..Faudrait voir encore l'histoire d'hitler...Un p'tit minable au tempéramment obsessif-compulsif qu'a été interné dans les asiles..le cerveau lavé...jusqu'a ce qu'il soit bien enragé contre les juifs..et puis relâché pour faire un futur dictateur!meurtrier...c'était un minus le type...

Et le Chat d'iran..le gros minou...fallait voir ses alliés....

Quand on parle de justice c'est de justice qu'on doit parler...de chercher tous les responsables..même ceux qui se cachent ou qui se donnent un permis de tuer...Autrement..c'est de l'injustice dans un simulacre de comédie dramatique de justice ! Même L'onu ne s'en mêle pas..c'est dire qui mène à l'onu...

Ce noel..un convoi militaire américain a assassiné une trentaine de femmes, enfants, bébés et vieillards sur un route..l'officier à ordonné leur exécution en représaille...parce que son convoi venait d'être la cible d'une attaque des rebelles...L'officier est présentement chez-lui pour les fêtes de Noel...et on en parle déjà plus!

Si les gandes puissances étaient traduites et sanctrionnées pour leurs crimes contre l'humanité en mettant en place et en soutenant des régimes de terreur qui les arrange..les petits dictateurs serait pas au pouvoir longtemps chez-eux...leur cas serait réglé de manière interne!

Entk...on va être débarassé de la présidence de Georges W Bush bientôt...mais faut regarder sa grande sage conseillère..Madama Condéloza Rice...on voit toute sa sagesse dans son regard et ses actions..c'est la bonté incarnée! aucun malice! (Et puis ..elle a pas d'intérêt dans les grosse ppétrolières..bin non...)

Quand au Canada..la politique de l'autruche et du suiveux!
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